
Elles sont rendues publiques par l’intermédiaire du CNPF en version simplifiée ou extensive, pour la France métropolitaine, comme pour l’Outremer.
Les critères présentés ne sont pas pour nous rassurer : si la transformation de forêts naturellement régénérées semble prohibée, cette interdiction est rapidement modérée par des « circonstances atténuantes » ; cette transformation sera possible en cas de
« a) Peuplements dégradés, (cf définition 3.42) ou,
b) Peuplements dépérissants (cf définition 3.43), ou,
c) Peuplements pauvres (cf définition 3.45), ou,
d) Peuplements vulnérables (cf définition 3.46), ou,
e) Peuplements faisant l’objet de dispositifs expérimentaux ou vergers à graines. »
Les périgourdins reconnaitront dans les quatre premiers alinéas les qualificatifs dont la filière bois affuble régulièrement nos forêts: dégradées, dépérissantes, pauvres, vulnérables, mais si riches en biodiversité!
Alors rassurant le label PEFC ?